Comme ma connexion n’est pas très performante, je ne met pas la version agrandies des photos ci-dessous. J’ai pris ces quelques photos hier, mon 1er jour à Sydney.
All posts by adrienweil
Le train s’était vraiment une idée pourrie. J’ai pu profiter un peu du paysage avant la nuit (soit pendant 3h) et même pas à partir du train puisque j’ai découvert au dernier moment qu’il fallait prendre un bus sur 200km pour enfin arriver au train qui nous emmenait à Sydney. Un peu compliqué leur système. Surtout que je n’y retiré aucun avantage: c’est le même prix que l’avion, on met 15h au lieu de 2, les repas à bord sont payant contrairement à l’avion, on dors mal…
Non vraiment, c’était 15 longues heures bien ennuyeuse.
Enfin bref, me voilà à Sydney et j’ai emménagé dans ma nouvelle coloc !
J’ai pas perdu de temps, j’ai foncé droit sur l’opéra 
Légère déception, il est pas aussi blanc et propre que sur les photos, mais j’avoue que malgré tout ça en jette ! C’est leur Tour Eiffel à eux en somme !
Pour les photos, je suis trop fatigué ce soir pour en mettre en ligne, malgré tout j’écris quand même ce petit billet grâce à la magie du wifi… En effet, j’emprunte la connexion d’un voisin 😉
Moi qui pensait ne pas avoir internet, je suis bien content ! La connexion n’est pas fabuleuse, très lente, et je suis obligé d’être dans le salon pour capter, mais sinon ça roule.
Voilà voilà voilà, bye bye from Sydney !
Demain, train.
Après demain, Sydney.
Après après demain, un milliard de photos
Confirmation, je vais dans une coloc sans internet…
Comme je l’avais dit, les mises à jour se font rare ces derniers temps, et à vrai dire, ces 2 dernières semaines n’ont pas été particulièrement chargée (ou plutôt, je me suis déchargé de tout). Deux semaines de vide émotionnel à la recherche désespérée d’un peu d’inspiration pour ne serais-ce qu’un minuscule poème, ou la simple trame d’une histoire. Mais rien.
Je continue donc de m’abreuver à la source des plus grands (Sylvia Plath, Edgar Allan Poe…) en me disant qu’au moins tout ça me nourrira le cerveau un peu plus intelligemment qu’en regardant « Big Brother »… Le retour de flamme par contre, c’est qu’à trop rester dans mes bouquins j’ai définitivement cessé d’être sociable avec mes colocataires. Bon, tant pis.
De toute façon ces 2 semaines n’étaient qu’une sorte de break (lui même englobé dans mon gros break Australien) et à partir de jeudi je repartirais à la conquête de la photo ultime qui agira comme un filtre d’amour sur n’importe quel employeur prêt à engager un infographiste déboussolé.
Pour ce qui est de la colocation sur Sydney, j’ai 5 possibilités mais je ne peux encore être sûr de rien. On ne peut pas réserver une coloc (à moins de la visiter, ce que je ne peux pas faire étant sur Brisbane juste avant) alors je dois téléphoner la veille ou le jour même pour voir si c’est libre. Et si c’est oui, j’emménage le jour même.
Le hic, c’est que celle qui a le plus de chance d’être libre jeudi est celle qui n’a pas Internet, goddam ! C’est pas tant le fait d’aller sur lapatate.com qui risque de me manquer, c’est plutôt de ne pas pouvoir envoyer de mails ni de mettre à jour le blog (pour les histoires de billets d’avions and co c’était bien pratique aussi).
Je ne vous parle même pas de la galère que ça serait si je devais mettre à jour le blog dans un cybercafé sans logiciel ftp… La seule solution que je vois, se serait d’aller sur le campus d’une fac et de squatter la connexion wifi, en espérant qu’il n’y est pas de mot de passe.
Je pense poster un dernier billet mercredi soir, mais après il faudra le temps que je m’installe pour voir apparaitre mon premier « post » Sydneyien
Chers(es) auditeurs(trices), à bientôt !
Ce matin je devais me lever à 4h20… Autant dire que c’était même pas envisageable, mon instinct de marmotte m’en aurait empêché. Alors j’ai trouvé une solution, ne pas dormir cette nuit là !
Donc tout guilleret, je me prépare mes sandwichs à 4h20, je pars vers la gare de Coorparoo, et à 5h12 le train part vers… Cleveland.
Arrivé là bas je me retrouve en face d’un petit port mais qui n’est pas celui qui m’intéresse, moi je dois rejoindre les ferrys.
Je prend donc un bus qui m’emmène à l’autre bout de la ville. Et là je prend le « ferry-taxi » vers… Stradbroke Island !
45mn plus tard, j’arrive enfin sur l’île. Il y a un bus qui me permet d’aller directement au nord de l’île pour me rendre à l’endroit le plus touristique, mais comme j’aime les plans foireux, je me dis que j’irais à pied ! Je regarde la carte, je vois qu’il faut faire 21 kilomètres… Euh bon là, je suis bien refroidi, mais malgré tout je me lance parce que je me dis qu’il y aura peut-être l’occasion de faire de belles photos en chemin (le photographe se dit que plus il va en morfler, et plus il a de chance de décrocher le jackpot de la photo de l’année…)
En chemin je rencontre ce petit poney tout mimi éclairé par la lumière rasante du soleil matinal, so cuuuute 😉
Celui là je pense qu’il est collector 😉 Je doute que se soit pour indiquer « danger, chute de koalas », à mon avis c’est surtout pour les touristes
Comment j’aurais pu partir d’Australie sans avoir pris cette photo ??? Non mais dites ??
Derrière les buissons, la mer promise 😛
Bon là ce qu’on ne voit pas par contre, c’est que mes pieds avaient disparus, que ma langue faisait 3m de long, et que j’avais tellement sué qu’on aurait pu croire que je m’étais baigné. Oui, le soleil Australien même en hiver, il cogne.
Bon là je fais du genre « pff, 21 kilomètres et même pas une mèche de déplacée ! »
(Je me permet un petit traitement graphique ici, parce que bon, je suis mon moins grand fan…)
Et mais.. C’est comme la Bretagne !! Sauf qu’en fait je raconte n’importe quoi !! 😉
Celle là je lui met mon coup de cœur !! La chanceuse
Plein de vagues ! Et peut-être au milieu de tout ça, plein de tout petits surfers !
Ah oui, c’est là que j’ai roupillé en attendant le bus qui allait vers le port de l’île. Vous remarquerez donc que (bizarrement) je ne suis pas reparti de la même façon que je suis venu ! Et oui, 40 km dans la même journée, non non non, je préférerais embrasser un pingouin
Voilà, c’est la fin de cette aventure, mais vous pourrez me retrouver la semaine prochaine dans.. Adrien à Sydney !!!!!!
Petit à petit l’idée murît, et je crois que maintenant c’est dit, je vais à Sydney début août et tant pis s’il me manquera quelques jours pour finir les 3 mois réglementaires qui me lient à cette colocation.
Alors oui c’est vrai, rien ne m’oblige à quitter mes petites habitudes puisque je pourrais tout aussi bien continuer d’apprendre l’anglais ici, mais… L’excitation de tout chambouler est toujours tentante
Il faut dire aussi qu’il n’y a pas beaucoup de communication entre mes colocataires et moi, et à cette allure là il me faudra 3 siècles (et des poussières) pour parler correctement anglais…
Je veux y arriver, je veux voir Sydney, et je veux prendre le train !
Je m’explique pour ce dernier point. J’aime faire des choix étrange, ou au pire, débile. L’avion effectue Brisbane-Sydney en 2h pour à peu près 100$ et le train le fait en, hum, 15h pour à peine 30$ de moins. Je crois que je sens déjà mon postérieur se révolter à l’idée de rester assis pendant 15h, mais euh, j’ai envie de voir le paysage, de savoir comment il est leur train, voilà.
Le choix n’est pas encore définitif puisque ça dépendra de ce qui est disponible, alors, on verra !
Bon, je risque de ne pas donner trop de nouvelles ces 2 prochaines semaines puisque j’ai des chances de ne strictement rien faire à part préparer le voyage (peut-être juste aller voir les baleines, mais c’est tout)
PS : je me suis coupé les cheveux, ça vous coupe la chique hein !
Moi je crois qu’on va bientôt me retrouver à Sydney… Le temps de préparer le déménagement, de réserver un billet d’avion, de préparer un peu ma recherche d’une nouvelle coloc ainsi que d’un job… Et tout ça très rapidement pour retomber sur mes pattes question fric. Humm, don’t stress anymore, i can do it even i’m so tired since yesterday…
Tout ça n’est pas sûr, mais étant donné que Jérôme part dans un mois, que j’ai plus de boulot et que je commence à très bien connaître Brisbane, je vois pas pourquoi je resterais plus longtemps.
Y a des jours comme ça, où on est viré…
Fallait que je m’y attende, elle m’avait prévenu au début qu’elle cherchait quelqu’un qui pourrait rester au moins pour un an.
J’ai quand même un hameçon planté dans les entrailles de savoir que du jour au lendemain je dois faire une croix sur ces quelques personnes que j’appréciais.
Pu….
Et en plus il pleut 
mais qui prouve que je ne suis peut-être pas un gelly-fish venimeux (tout gluant)
Si on trouve un « keep right » on vous fait signe, c’est un collector !!!! 😉